Le Cinévore: The Arrival

The Arrival est un film artistique, certes de la science fiction et un drame, mais il reste un film artistique. Ce que je qualifie d'artistique est un film conçu non pour l’œil du publique commun, mais pour la tête d'un publique plus expérimenté. Évidemment, chaque film est un oeuvre d'art, comme chaque oeuvre littéraire ou même assiette en est un, mais si on y pense bien, on peut très bien qualifier un assiette gourmet précautionneusement épicé et minutieusement décoré comme un oeuvre d'art, mais que pouvons nous dire des hamburgers écrasé qu'on nous sert en Fast-Food? Bien que cet exemple est bien extrême, mon point est que chaque oeuvre est peut-être un oeuvre d'art, mais certain joue beaucoup plus avec l'aspect artistique que d'autre. Pas qu'il est meilleur, car parfois, un bon hamburger fait du bien. The Arrival n'est pas l'hamburger mais l'assiette gourmet, il joue avec l'émotion du téléspectateur, il joue avec l'ennuie, la peur, le sentiment de chaleur et la tragédie pour en nommez certains.

Je ne peux mettre un autre mot que "chef-d'oeuvre" sur The Arrival: j'ai moi-même prit jeu au film, je me suis fait entraîner par ses filets. Et pour un film qui se déroule principalement entre deux même lieux la plupart du temps, je me suis quand même senti comme dans une aventure, le film est une expérience, et quand même, même après tout ces aspects puissants, le film réussi à raconter une histoire, certes émouvante, mais définitivement captivante. The Arrival raconte l'histoire d'un premier contact, d'un mystère, et nous, en tant que spectateur, découvrons le film au même tempo que les personnages. Une expérience que je recommande principalement aux plus expérimenté des cinéphiles.

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